BATIPLUS BAGGHI
BATIPLUS BAGGHI

QUI SOMMES NOUS ?


Feu Mr Augustin René BAGGHI est le fondateur de la société BATI+BAGGHI.

Après avoir travaillé une vingtaine d'années en France métropolitaine, Mr BAGGHI revient en Guadeloupe ,avec l'ouverture de l'hôtel Le Méridien à Saint-François ,où il y travaillera pendant quelques années au service technique.

En 1985, il décide de se lancer à son compte et crée une quincaillerie "La quincaillerie du centre" à la rue Paul Favreau, à côté de la rotonde à Saint-François.

Le magasin devenant trop petit et voulant élargir sa gamme et son offre de produits, il décide deux ans plus tard, d'ouvrir un second magasin les "Etablissements BAGGHI" à la rue de la Liberté (ancien cinéma de Saint-François).

Mr BAGGHI était un visionnaire, il était loin de s'assoir sur ses lauriers puisqu'il n'avait de cesse de toujours vouloir s'améliorer et d'évoluer dans son domaine.

Dans les années 90, il décide de construire un hangar de stockage à Desbonnes Saint-François puis il y voit très vite, l'opportunité d'y installer une entreprise.

Il fonde ainsi le groupement BATI+, un groupement d'intérêts économiques (GIE) avec d'autres PME guadeloupéennes (Ets Palmier, Ets Fauchéry...) .

En 1993, la société BATI+BAGGHI voit donc le jour.

Le développement de la société est tel que Mr BAGGHI décide de concentrer l'ensemble de ses entreprises en seul point de vente à Desbonnes et de fermer successivement en 2003 puis en 2005, les magasins du bourg.

Avec une surface de vente de plus en plus grande, il continue de diversifier son activité dans les matériaux de construction, le bricolage et les produits agricoles.

Son entreprise devient incontournable et malgré son ascension, Mr BAGGHI reste modeste, simple et travailleur. Il aimait le contact avec sa clientèle et aimait aider ses clients en leur proposant des facilités de paiement "prenez ce que dont vous avez besoin, vous me paierez après".

Les embuches et les difficultés ne lui faisaient pas peur, si bien qu'il ne baissait jamais les bras. Sa phrase fétiche était "A PA ON TI CACA CHIEN Ké KOWé ROU AW".

En 2006, à la suite de son décès, ses enfants Catherine et Bernard, reprennent la relève. C'est avec fierté, qu'ils dirigent l'entreprise familiale et qu'ils continuent à travailler dans la lignée de leur père en cherchant toujours à s'améliorer et se développer.

- 1993 -


- 2022 -